[Vidéo] Amma – la compassion est le fondement de la paix

La compassion est le fondement de la paix. La compassion réside en chacun. Mais il est difficile d’en faire l’expérience et de l’exprimer dans toutes nos actions.

Nous devons nous tourner vers l’intérieur et chercher profondément en nous-mêmes. ‘Mon cœur est-il encore vibrant de vie ? Puis-je encore faire l’expérience de la source d’amour et de compassion en moi ? Mon cœur fond-il encore au contact de la souffrance et des peines des autres ? Ai-je pleuré aux côtés de ceux qui souffrent ? Ai-je vraiment essayé de sécher les larmes d’un autre pour le consoler, ou bien de donner au moins un repas à quelqu’un, ou bien des vêtements ?’

De cette façon, nous pouvons nous livrer à une introspection honnête. Alors, l’apaisant clair de lune de la compassion rayonnera spontanément à travers notre mental.

Si nous voulons apporter la paix dans le monde extérieur, d’abord notre monde intérieur doit être en paix. (Amma – Source: www.facebook.com/MataAmritanandamayi)



(Activez les sous-titres [CC], disponible en français) – Pour vivre en ce monde, nous avons besoin de deux choses : la vérité et les secrets. Nous n’allons pas dire sciemment à quelqu’un des choses désagréables, par exemple, « Tu as une tête de singe », car cela le blesserait. Ainsi, il y a des choses qu’il ne faut pas dire. Toutes nos actions, l’accomplissement de nos devoirs, devraient être empreints de la douceur de l’amour. C’est cette douceur qui transforme des actions ordinaires en service du guru.

Sans la douceur de l’amour, une action n’est qu’un travail. Les actes accomplis uniquement pour le profit matériel ne sont également que du travail. En revanche, les actions effectuées pour développer l’amour dans notre cœur et grandir intérieurement sont le service du guru. De tels actes sont une adoration du Soi intérieur. Cela, en vérité, c’est la véritable dévotion (Source: Amma en France ETW).


(Activez les sous-titres [CC], disponible en français) – Lors du marathon olympique de 1968, alors que la course avait déjà commencé, Akhwari, l’athlète de Tanzanie, tomba et se blessa gravement. Tous les autres participants terminèrent la course et franchirent la ligne d’arrivée. Couvert de sang, Akhwari continua cependant à courir et termina dernier. Des heures plus tard, quand il franchit enfin la ligne d’arrivée, la foule lui fit une ovation. Plus tard, lors d’une interview, on lui demanda pourquoi il avait continué à courir malgré sa blessure, en sachant qu’il ne pourrait pas gagner. Akhwari répondit : « Mon pays ne m’a pas seulement envoyé ici pour commencer la course, mais aussi pour la finir. » En fait, cette réponse le rendit plus célèbre que le véritable vainqueur de la course. Bien qu’il fût gravement blessé, il s’est traîné jusqu’à la ligne d’arrivée. Ainsi, nous rencontrerons peut-être des échecs dans notre vie, mais cela ne devrait jamais nous décourager. Avançons d’un pas régulier en gardant notre but à l’esprit. Amma ne dit pas qu’il faut courir avec une jambe cassée. Amma évoque cette histoire pour expliquer qu’il ne faut jamais perdre courage face aux situations défavorables. Notre détermination devrait nous aider à les surmonter et à continuer avec élan. (Source: Amma en France ETW).

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